L’Assemblée générale des étudiants et personnels de Paris 12, réunie le vendredi 13 mars 2009, mandate les cinq délégués qui la représenteront lors de la 6ème Coordination nationale des Universités, qui se tiendra à l’Université de Bourgogne (pôle de Dijon) le lundi 16 mars 2009, pour présenter la motion 1 et proposer les motions 2 et 3 à la Coordination :
Motion 1
L'Assemblée générale de Paris XII se prononce en faveur de l'élection d'une représentation de la Coordination nationale des Universités uniquement après l'ouverture de négociations. Elle pose comme préalable à toute négociation l'abrogation de la loi LRU et l’engagement de discussions pour l’élaboration d’une nouvelle loi.
Motion 2
La Coordination nationale des Universités appelle dès maintenant à créer des ateliers ouverts à tous pour rédiger des cahiers de doléance et de propositions en vue de la tenue d’Etats Généraux de l’enseignement et de la recherche.
Motion 3
La Coordination nationale des Universités dénonce et condamne la nouvelle manœuvre dilatoire de Valérie Pécresse et de Xavier Darcos sur le dossier de la « masterisation ». Les aménagements partiels annoncés hier par les deux ministres ne satisfont aucune de ses revendications.
Motion 1
L'Assemblée générale de Paris XII se prononce en faveur de l'élection d'une représentation de la Coordination nationale des Universités uniquement après l'ouverture de négociations. Elle pose comme préalable à toute négociation l'abrogation de la loi LRU et l’engagement de discussions pour l’élaboration d’une nouvelle loi.
Motion 2
La Coordination nationale des Universités appelle dès maintenant à créer des ateliers ouverts à tous pour rédiger des cahiers de doléance et de propositions en vue de la tenue d’Etats Généraux de l’enseignement et de la recherche.
Motion 3
La Coordination nationale des Universités dénonce et condamne la nouvelle manœuvre dilatoire de Valérie Pécresse et de Xavier Darcos sur le dossier de la « masterisation ». Les aménagements partiels annoncés hier par les deux ministres ne satisfont aucune de ses revendications.